Les temps changent en Chine et l’environnement n’y échappe pas. Le smog de Beijing est légendaire et endémique. Personne ne conteste la chose. Mais il y a place à réjouissance. Un article récent nous apprenait en effet que le ministre chinois de l’environnement pourrait un jour avoir plus de pouvoir que certains ministres aux affaires économiques. On est loin d’une époque, pas si lointaine, ou il n’y avait tout simplement pas de Ministère de l’environnement ! Pour faire la promotion des produits de nos entreprises, nous (ConsultAsia – Arlyle Waring) nous adressions alors à l’Administration d’État pour la Protection de l’Environnement de la Chine (SEPA). Inutile de rajouter que les produits et services qui ne s’attaquaient pas à la pollution visible étaient souvent considérés comme peu intéressants. C’était l’époque du développement à tout crin. Quand le goût du thé et de la soupe, deux incontournables du régime alimentaire chinois, se sont vus altérés, les choses ont commencé à bouger. L’esprit de l’homme est souvent dominé par l’urgence.
Publié par : Lynda Dumais | 19/03/2013
Rapport de force … et d’urgence
Publié dans Économie, Commerce, Enjeux, Environnement | Étiquettes : Beijing, Chine, Environnement, Pollution, Pouvoir
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